nos mères et les mères de nos mères / nan’vaï’a disan nan’vaï’a nisan’vaï’a disan
2015, hauteur 50 cm, largeur 26 cm, profondeur 24 cm, papier mâché, acrylique, filasse, perles et bois
Alzina Selvenuhti Ora – Demeure de la Grande Emeraude *
2015, hauteur 80cm, largeur 28cm, profondeur 44cm, papier mâché, acrylique, tissu, perles, perruque et divers
1023 – la plus douce de nous trois / jjanamedama dãch
Sarezena Ialãro Ti’a – Connaît les Racines III*
2015, hauteur 120cm , largeur 50cm, profondeur 100cm, papier mâché, acrylique, chaise, tissu, perles, perruque, plume et divers
918 – allons chanter au bord du fleuve
918A – Chaman Ardide hauteur 51cm profondeur 24cm largeur 16cm, papier mâché, acrylique, bois, filasse, laine, perles, raphia, boutons… 917B – Chaman Avestwiga hauteur 85cm profondeur 35cm largeur 22cm, papier mâché, acrylique, bois, filasse, laine, perles, raphia, boutons… 918 C – Chaman Ciconianingh’ hauteur 33 cm profondeur 25 cm largeur 15 […]
1021- Un tribut pour nos maîtres / Kahra Neren’sa:ãb disan*
Chasugriv Ieljahlraba itepiano Nenarahdi Nian’wadïch’ka mosetaka après avoir envahit le Jahlaraba, les Arahdi emmènent les Trigynes en esclavage
1019 – l’Adieu au Pays / Kawweri kel’Wãrta *
Ten’gati nan’waïch’ka Ani:arahda war ersenãrd’rach jawwa Erskiward rag les Trygines quittent l’Arahdi à cause de la guerre contre l’Erskiward
1017 – Sariana la Première
la Salle du Roi de la Montagne
https://vimeo.com/106373597 Une petite animation sur un extrait du « Peer Gynt » d’Edvard Grieg. C’est interprété ici par l’orchestre symphonique de Göteborg dirigé par Neeme Järvi avec des chorales rarement joués pour ce morceau. J’ai préféré ne pas mettre de sous titres mais voilà une traduction en anglais http://en.wikipedia.org/wiki/In_the_Hall_of_the_Mountain_King
426 – la Symphonie Fantastique
Une série inspirée de la « symphonie fantastique » d’Hector Berlioz (plus particulièrement la version de Myung Yun Chung dirigeant l’Orchestre de l’Opéra Bastille). J’étais parti par une illustration fidèle aux notes de Berlioz mais c’était tomber dans un romantisme un peu facile. Alors j’ai préféré en faire une sorte de métaphore chamanico-mystico-jungienne. […]
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