Yaùkelb Remas 4 (Bia)
œxœkanit 17 (al-re) iada sarrùlak firan Erliskan’drita, lab naxbalad xed-ter subete moswerù terza’ lœ a’rrmaner. Nierrel tsanaklia he ma’sayer memaxazùt dùkmatœlœ firan, Matù fil tardalia cel edrei’ki canagiadare finia iad ( no’ka xana-tœ cel makerei’ki canagiadare catarda ùd. Sagimakœdea Nierrelol gùlraxat ya le’tatùgidi Nerokayol ca taskaki makœtakiaja’. Ya moliexù esxalm’diare dir, Aramasao armaxos’ja’ nùdeciad. Bayilalad Hyerfraki ya Mei-Liki makasayaila ya nalœye. cna valla’mon muryùlaikaja’ xed-tes subete, cai’di Nadji.
Jour du Singe, 4 du Mois de la Louve
Voilà dix-neuf jours que nous sommes parties d’Erliskandre., mais avec tout ce qui s’est passé, c’est comme si c’était des années. Nierrel a proposé une soirée en musique pour nous détendre. Alors nous nous sommes mises sur notre trente-et-un (enfin celles qui avaient un trente-et-un à mettre). Nierrel est pas mal comme organiste et Ernokay la taciturne se révèle une grande chanteuse. Et, au risque de me répéter, Armasao est une gambiste sublime. Hyerfra et Mei Li ont dansé avec la musique et la lumière du soleil couchant. Les jumelles étaient très entraînées par tout cela, surtout Nadji.