Un triptyque qui conclut (peut être pas définitivement) cette série sur les ruines, habitée par les fées, d’un peuple disparu (voir les quatre tableaux précédents ou le tag « dholienka » en bas). Le bandeau qui entoure le triptyque n’est pas simplement décoratif mais il s’agit d’un texte (écrit en français cette fois) dont voici la transcription:
Là où vous étiez, nous sommes
Et s’il faut que tout ce qui est s’en aille
Ce n’est pas en vain, si le Serpent s’en souvient
Là où nous sommes, notre âme n’est pas fixée
La vision nous entraîne, et la connaissance
Et l’œil et la flamme touchant tout ce qui vit
Là où nous sommes, d’autres et d’autres seront
Ce qu’à vu le Serpent, le Serpent le reverra
Tout ce qui s’en va revient transformé
Et pour finir, une sorte de résumé en image du processus lien (Ca n’a peut être pas l’air simple comme ça, mais en réalité c’était encore plus compliqué)