Encore un dessin consacré à la musique, mais cette fois à la violoniste Julia Fischer et plus particulièrement à son interprétation des vingt-quatre caprices de Niccolò Paganini lien
En dehors de sa virtuosité, je trouve que sa façon de jouer, de bouger et de manier l’archet possède une grande valeur esthétique, une intéressante conjonction entre la beauté visuelle et la beauté sonore. C’est pourquoi j’ai décidé de la représenter vingt-quatre fois, car une seule aurait été bien trop frustrante. Et comme il eût été difficile de faire une composition harmonieuse avec un seul dessin, j’ai opté pour un diptyque.
Ceci n’a rien à voir avec le reste, mais j’ai choisi de ne pas faire les contours à l’encre de Chine et de lui préférer des techniques plus proches du pastel, comme le fusain, la pierre noire ou la mine de plomb. Simplement pour rompre avec l’habitude.