
259 – la Rivière de fleurs et de feu
Ô toi qui règnes sur le feu de notre chair Depuis le gouffre brumeux des serpents pêcheurs Toi la rivière de fleurs et de flammes Toi qui renouvelles l’union de la création
Ô toi qui règnes sur le feu de notre chair Depuis le gouffre brumeux des serpents pêcheurs Toi la rivière de fleurs et de flammes Toi qui renouvelles l’union de la création
le titre est extrait de l’ »hymne à la joie » de Schiller
Ce triptyque est inspiré de l’œuvre du chorégraphe Angelin Preljocaj et notamment du ballet « near life experience » J’ai écrit, traduit et transcrit dans les bandeaux supérieurs et inférieurs un texte dans une langue de mon invention. Voici la version traduite et en français: Laîva Ni Neyœdî valk’a li naghâda elini’a mi erli èrrizonog akssî we […]
transcription du texte: eni enâe sarru’aâ lo’a-i (le don au soleil)
transcription du texte : vvi-Laî li nolavvâo garü’a li conhigi’âo (l’œuf d’émeraude de la salamandre)
transcription du texte: laîni errmatâtrea u’ea u’arâè-ezagè nenha ni avîla (les fleurs-miroirs chantent aussi)
transcription du texte: laîvvi en of’aena erranago avvena’ k’i bhi konetre aékari’a divva (« l’ambre dort dans les anneaux du python »)
Commentaires récents